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Brantôme




Nous partons de la maison vers 15h30 après avoir hésité un long moment pour savoir si nous devions prendre la route alors que chez nous la tempête Miguel fait rage.

Nous partons donc prudemment en espérant que dans le Périgord, le temps sera plus clément et que nous pourrons profiter de ce week-end de Pentecôte.

Nous arrivons sur l'aire de CC de Brantôme sans encombres vers 18h00 non sans avoir été bien secoué par moments.

 


Au beau milieu de la luxuriante Dronne et de son paysage bucolique,

se niche le village de Brantôme, édifiée autour de son Abbaye, haut monument du patrimoine architecturale

et religieux français.

Enlacé par son cours d’eau, à l’ombre d’une falaise, le bourg est un îlot de pierre au cœur d’un paysage verdoyant.





Après s'être installé sur l'aire de Camping-car, nous profitons de cette fin d'après-midi pour aller faire une petite balade.




Le clocher de l’église abbatiale de Brantôme date du XIe siècle.

Il compte parmi les plus vieux clochers campaniles de France.

Il a la particularité d’être un édifice indépendant, bâti sur un surplomb rocheux de 12 mètres de haut

contre lequel l’église est construite.

Son architecture est caractéristique du style roman qui fleurit dans la région du Limousin et se caractérise

par l’emploi de gâbles couronnant les baies et par une superposition de quatre étages en retrait.

Sa pointe est coiffée par une pyramide de pierre quadrangulaire. 



ABBATIALE SAINT-PIERRE DE BRANTÔME

 

Eglise de plan rectangulaire composée de trois travées, deux pour la nef et une pour le chœur,

reconstruite à la suite de la guerre de Cent Ans.

L’ensemble est coiffé de trois voûtes angevines présentant un profil très bombé.

Elle est datée du XVe siècle et est placée sous le double vocable de saint Pierre et saint Sicaire,

l’un des Saints Innocents de Bethléem tué sur ordre du roi Hérode d’après l’Evangile selon saint Matthieu.

Un fragment de la relique de l’enfant est précieusement conservé au sein de l’église dans une élégante châsse.

Situé sur un des nombreux axes secondaires en provenance de Vézelay et menant à Saint-Jacques-de-Compostelle,

saint Sicaire était vénéré par de nombreux pèlerins.

Le XIXe siècle a vu son classement sur la liste des Monuments Historiques, mais aussi sa restauration par

l’architecte Paul Abadie (1812-1884).



Vestiges du cloître et Salle capitulaire

 

La restauration du cloître de l’abbaye de Brantôme commence vers 1465, le site étant alors placé sous l’autorité de Pierre de Piédieu, pour s’achever en 1539, sous l’abbé Pierre de Mareuil.

 

Le cloître de Brantôme comprend, à l’origine, quatre galeries et vingt travées. Trois sur les quatre sont détruites par l’architecte Paul Abadie, élève de Viollet-le-Duc, en 1858. Ce dernier souhaite d’une part élargir la route, d’autre part dégager la façade de l’église.

 

Seule l’aile ouest avec des voûtes en croisées d’ogives subsiste, mais les traces des arcatures détruites sont encore visibles sur les murs de l’église et du bâtiment conventuel.

 

Le cloître comporte également la chapelle Saint-Antime, du nom du premier abbé de Brantôme, qui est une salle capitulaire. Les magnifiques bois sculptés, autrefois dorés à la feuille d’or sont aujourd’hui visibles dans le bureau du maire et dans le anciennes cuisines qui abrite l’Office du Tourisme.

 

Depuis le 19 février 1957, ce cloître est classé monument historique.



Les bâtiments conventuels de l’Abbaye Saint-Pierre 

  

Les bâtiments conventuels de l’abbaye sont remaniés au XVIIe siècle par l’abbé la congrégation de Saint-Maur.

Ils constituent la partie nord de l’abbaye.

 

Le pavillon d’angle nord qui jouxte le cloître est occupé par un remarquable escalier de pierre sur voûte en demi-berceau rampant construit au XVIIe siècle.

 

Les deux escaliers permettent d’accéder au dortoir des moines. Il semble que les anciens une entrée particulière dans le chœur par un escalier en vis aménagé au XVe siècle.

 

La salle capitulaire, la cuisine et le réfectoire occupent le côté nord du cloître, tandis que la salle des hôte et l’infirmerie sont logées dans la partie orientale du grand bâtiment abbatial.

 

Aujourd’hui, il ne demeure de cette organisation monastique qu’une partie du cloître ainsi que quelques salles, dont la chapelle consacrée à saint Anthime. En effet, Paul Abadie fait détruire une partie de ces bâtiments conventuels, le cloître et trois galeries sur les quatre existantes en 1858.





Les vestiges de l’ancienne tour du château abbatiale

  

La légende raconte qu’à la fin du Xe siècle, Gui, vicomte de Limoges, aurait construit une tour en face de Brantôme pour mieux dominer cette abbaye.

 

Selon la chronique d’Adhémar, Grimard étant alors abbé de Brantôme, Boson II, comte de Périgord, a livré bataille à Gui qui a été blessé. La tour aurait été détruite suite à ce combat, ce qui explique qu’il n’en subsiste rien.

 

 En dépit de leur rareté, les vestiges qui demeurent de ce château permettent de fournir des renseignements intéressants sur la vie des monastères bénédictins de l’époque, qui étaient loin de ressembler à des couvents isolés et silencieux. 



Le pavillon renaissance de L’Abbaye Saint-Pierre

 

L’édifice qu’on appelle « Pavillon Renaissance »  fait face à la tour ronde du château abbatial, à proximité du pont coudé.

 

Ce pavillon et la tour ronde sont autrefois reliés par une porte avec chemin de ronde.

 

De plus, dans cette tour, une muraille rejoint la falaise. L’ensemble représente la défense sud de l’abbaye et du château abbatial, les édifices religieux constituant à l’époque des sites défensifs efficaces.

 

Le pavillon semble être construit à la place d’une tour au début du XVIe siècle par Pierre de Mareuil dont on voit encore les armoiries au-dessus de la porte. Il s’agit d’un modèle d’architecture de la Renaissance, d’où son appellation.

 

Restauré en 1910 à l’initiative du Ministre des Beaux-Arts, le pavillon comprend un bas-relief qui représente saint Jérôme. Cette réalisation est classée Monument Historique à titre d’objet le 11 janvier 1966.



Le jardin et la fontaine Médicis de l’Abbaye de Saint-Pierre

 

Le château abbatial de Brantôme est entouré d’un jardin pourvu d’une fontaine depuis le XVIIe siècle.

 

Le jardin « Médicis » constitue l’ancien jardin privé des abbés, situé sous la façade de leur château abbatial, avant la création d’un autre parc plus grand au-delà du pont coudé. Son nom fait référence à l’inspiration italianisante de la Renaissance et aux nombreux voyages entrepris par Brantôme en Italie.

 

En 1895, le député Saumande décide de commander un buste de Brantôme, ou Pierre de Bourdeille, pour décorer cette fontaine. On demande donc au sculpteur Auguste Maillard de représenter l’abbé de Brantôme « à l’âge mûr ». Mais lors de l’inauguration, on réalise, au moment de la pose de l’œuvre, qu’elle n’est pas aux dimensions de la fontaine. Il faut donc loger le buste près des Promenades, sur un piédestal provisoire.

 

Durant la Seconde Guerre mondiale, le buste est dissimulé par le maire afin de le protéger. Ignorant ce subterfuge, le ministre des Beaux-arts commande un deuxième buste au sculpteur Muguet. Par conséquent, la ville possède désormais deux sculptures de son chroniqueur éponyme.



Nous poursuivons notre visite demain, après tout on a le temps.

L'après-midi sera consacré au farniente, à la pêche et un peu de bronzette vu que le soleil fait son apparition de temps en temps.


Nuit toujours aussi calme, avec encore quelques averses dans la nuit.

Nous repartons après les préparatifs a la découverte de Brantôme.

L'aire de Camping-car ne désemplit pas, c'est un ballet de va-et-viens entre ceux qui partent et ceux qui arrivent.


Le pont coudé de l’Abbaye Saint-Pierre

 

Construit durant la première moitié du XVIe siècle sous la direction de Pierre de Mareuil, le pont coudé  permet aux moines d’accéder à leurs jardins.

 

Certains jardins des bénédictins étant situés sur la rive gauche de la Dronne, ce pont est indispensable.

Très endommagé par la crue de 1735, il est restauré entre 1736 et 1738.

 

La morphologie de ce pont « coudé » est longtemps demeurée énigmatique. Il est composé de dix arches dont trois sont en retour d’équerre. Celles-ci sont séparées par des piles à avant-becs triangulaires et glacis.

 

On peut toutefois expliquer sa structure étrange par la nécessité qu’il a de résister à deux courants opposés, deux bras de la rivière se rejoignant à cet endroit ; on le dote donc à l’époque de deux points de résistance afin de renforcer sa solidité.

 

Dès le 24 juillet 1912, la particularité du pont coudé de Brantôme le fait classer au titre des monuments historiques.



Le jardin des moines

 

Le jardin des moines, créé au XVIe siècle par l’abbé commendataire Pierre de Mareuil, constitue lors de sa construction le jardin privé de l’abbé de Brantôme. Il est relié au château abbatial par le pont coudé.

 

Ce n’est qu’en 1742 que le jardin revient aux mains des moines, mais ce, seulement pour une courte durée. Il devient en effet propriété de la commune à la Révolution. A l’origine, ce jardin est enclos d’un mur, détruit en 1913.

 

De plan rectangulaire, il est composé de quatre pelouses plantées d’arbres et délimitées par des allées. L’allée centrale nord-sud relie les deux reposoirs Renaissance. Ces derniers sont en pierre de taille et couverts de tuiles creuses. Leurs façades sont sculptées de motifs floraux, de volutes et de masques.

 

Le troisième de ces reposoirs est plus tardif et cantonne l’angle nord-ouest du jardin. D’inspiration italienne, l’architecture de ces constructions célèbre les ordres antiques par ses colonnes, pilastres et chapiteaux corinthiens.

 

Depuis le 26 juillet 1975, le jardin des moines et ses reposoirs sont inscrits à l’inventaire des Monuments Historiques



Quai Bertin, maison dite « de l’Abbé »

 

Les maisons du Quai Bertin, le long de la Dronne, sont construites sur une portion des anciens remparts.

Celle-ci a été rebâtie aux XVI et XVIIèmes siècles.

Son balcon de pierres appuyé sur des mâchicoulis est dominé par une échauguette qui s'adossait jadis à une tour de défense.

Des petits encorbellements comme celui du balcon plus étroit se retrouvent sur plusieurs façades du Quai.



Quai Bertin

Maison bâtie et appuyée sur l'un des anciens remparts du bourg.

L'élégante galerie à la mode du XVIIIème siècle périgourdin est venue fin XIXème siècle remplacer

un chemin de ronde dont subsistent les mâchicoulis.

Son aspect d'antan sans doute complètement aveugle en rez de chaussée, car base des remparts,

puis ensuite utilisé pour des écuries et réserves pour se garder des inondations,

était nettement moins engageant que son charme actuel.



Place du Marché

Les marchands y accédaient par la rue du Minage (vieux mot français signifiant marché et droit féodal sur les mesures), devenue rue Victor Hugo.

L'octroi d'un marché à Brantôme a été obtenu du roi à la requête de Pierre de Mareuil, abbé de Brantôme, et confirmé par les lettres patentes de François Ier, en août 1539, dans son ordonnance de Villers-Cotterêts, la même qui consacre le français comme langue désormais usuelle dans tous les actes officiels :

"Le vendredy de chaque semaine de l'an, pourvu toute fois que, à 4 lieues à la ronde, n'y ait, ledit jour de vendredy, aulcun autre marché..."

La place comprenait une halle couverte.



L’ancienne église Notre-Dame de Brantôme

 

 Face à l’abbaye, on trouve l’ancienne église paroissiale, Notre-Dame de Brantôme.

 

Construite en 1516 sur l’emplacement d’une ancienne chapelle à l’initiative d’Amanieu d’Albret, abbé de Brantôme,

l’église est destinée à mettre fin aux nombreuses querelles qui éclatent entre les moines et les vicaires

qui se partagent alors l’autorité religieuse de la ville.

 

Brantôme a alors deux paroisses, puisqu’il existe déjà Saint-Pardoux-de-Feix, édifiée au XIIe siècle au nord de la ville pour des raisons semblables.

 

De style gothique flamboyant, l’église Notre-Dame est composée d’une nef à trois travées, terminée par un chevet plat.

 

Le petit clocheton-mur qui orne alors son pignon occidental a disparu, mais on a conservé sur le contrefort du nord-ouest une échauguette qui surplombe le canal des Moines.

 

Par ailleurs, on ajoute au XVIIe siècle quatre chapelles dont l’une est fréquentée, en 1731, par les femmes stériles.

 

L’édifice est désaffecté à partir du 30 décembre 1858, lorsque l’église paroissiale est transférée dans l’ancienne église abbatiale.  L’église fut désacralisée au XIXe siècle pour être transformée en halle, puis en salle des fêtes.

Elle abrite aujourd’hui le bureau d’accueil de l’Office de Tourisme PÉRIGORD Dronne Belle à Brantôme.

Depuis le 25 octobre 1958, elle est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques.



La porte des Réformés

 

Celle qu’on appelle à Brantôme « la Porte des Réformés » est une ancienne porte d’enceinte fortifiée

qui défend à l’époque le côté nord de l’abbaye, son pendant étant la porte Saint-Roch.

 

Construite au XVe siècle en pierre de taille, cette porte doit son nom au lieu-dit qui se trouve à proximité « Pas des Réformés » ou « Gué des Réformés ».

 

Elle est encore surmontée d’une rangée de corbeaux de mâchicoulis qui portent à l’origine un chemin de ronde.

La troupe de Coligny emprunte deux fois ce gué durant l’année 1569. D’une part le 27 juin et d’autre part, le 15 octobre.

 

Cette bande, connue pour ses violences, est très crainte en Périgord. Pourtant, le chroniqueur Pierre de Bourdeilles raconte qu’elle traverse Brantôme sans commettre ni crime ni pillage habituels, la diplomatie brantômaise ayant été suffisamment dissuasive.

 

En outre, une légende rapporte que c’est sous cette porte que l’abbé catholique va au-devant de son ancien ami, l’amiral calviniste Coligny pour mettre fin à la menace d’un terrible affrontement devant un bon repas périgourdin.

 

D’autre part, cette porte doit, à une époque, être détruite afin de laisser le passage au tramway venant de Périgueux.

Face aux protestations des habitants, elle est seulement élargie et par conséquent sauvée, contrairement à la porte Saint-Roch qui est abattue.

 

En janvier 1931, la Porte des Réformés a fait l’objet d’une enquête qui a conduit à son inscription à l’inventaire des Monuments Historiques. 



12, place du marché (ancienne place du minage)

 

Les deux étages et le comble de cette façade ont conservé leurs structures du XVIème siècle.

Les baies étaient à l'origine à meneaux et traverses, ils ont été reconstitués récemment.

La lucarne est encadrée de  pilastres à chapiteau corinthiens.



Venelle rue Victor Hugo (ancienne rue du minage)

 

Cette venelle mène à l'ancien gué de la porte St Germain rebaptisée "porte des réformés".

Le tracé en angles droits de la venelle et la porte en bord de rivière, constituaient un système défensif au moyen-âge.



Ancien hospice civil et militaire (qui fut ensuite une maison de retraite avant d’être abandonné)

 

Bâti au milieu du XVIIIème siècle sur le modèle classique de beaucoup de grandes demeures de cette époque,

visible du confluent entre Dronne et Canal des Moines, le corps central est encadré de deux pavillons saillants,

le tout couvert d'un toit à la Mansart ponctué de belles lucarnes.

La galerie courant à l’étage devant le façade est récente.

L'ancien portail principal (rue Lacouture) et la façade de son côté sont agrémentés de nombre d’éléments

typiques de cette architecture r&régionale classique.

 

L’ancienne tour des remparts de Brantôme

  

Au bord de la Dronne, juste devant l’ancien hôpital, siège cette tour, vestige des remparts qui entouraient Brantôme. 



Passerelle dite "Eiffel"

 

Cette passerelle repose sur deux piliers élevés en pierres du pays.

Elle a été réalisée en 1895 par Jean Borie, artisan taillandier local, sur les conseils des ateliers Eiffel à Paris.

Elle est venue remplacer la passerelle en bis du gué des "Peyrats" (nom des grosses pierres qui en permettaient le passage)

"Afin de faciliter les pieux pèlerinages vers le champ du repos"

 

De l'autre côté de la passerelle: le château de la Hierce XVIème siècle.



Maison des Dames de la foi

 

Ancien couvent des "Dames de la Foi".

Au XVIème siècle, la maison était ouverte coté rivière par une vaste galerie à arcade, encadrée côté rue par l'échauguette,

et de l'autre côté par la tourelle carrée visible en toiture.

L'extension, bâtie en 1833 (sous Louis-Philippe), est venue masquer la galerie qui subsiste dans le volume intérieur.

On peut observer, à l'angle de la maison, le marquage de différentes crues.



Castel de la Hierce

Epoque : 16e siècle

Patrimoine protégé : Castel de la Hierce : classement par arrêté du 12 mars 1892

Propriétaire du bâtiment : Propriété d'une personne privée



Nous terminerons ici pour aujourd'hui, demain nous en découvrirons encore un peu plus de cette superbe ville.

Je mets quelques photos prises au hasard des rues mais il est difficile de choisir lesquelles, tellement il y a de chose à voir.

Nous passerons le reste de la journée au calme sur l'aire de Camping-car et préparons le barbecue pour ce soir.



Pour ne pas changer, la pluie a été de la partie cette nuit, mais cela ne nous empêche pas d'avoir passé une excellente nuit.

Comme les autres jours nous partons voir les recoins de la ville que nous n'avons pas encore vue.

Bien entendu il possible d'en faire le tour en une journée, mais vu que nous avions le temps,

nous ne nous sommes pas pressé.


Chemin du Vert Galant (anciennement chemin des amoureux)

 

La tradition veut que cet immeuble ait été l'un des anciens relais de poste.

Il conserve des éléments du XVIème siècle.

Façade dessinée au XVIIème siècle.

L'élégance est donnée par le rythme des pilastres et des encadrements de baies soulignée en travées formant ressaut,

un peu selon le modèle de la façade de l'abbaye.

Jadis ce chemin était la seule route menant à Valeuil, Bourdeilles, Périgueux.

Sans doute la référence au Vert Galant est elle liée à l'un des itinéraires qu'emprunta le jeune Henri de Navarre

(futur Henri IV) qui par deux fois accompagna l’amiral Coligny et les princes de Nassau dans leurs périples

guerriers en Périgord.



Place St Pierre

 

Maison des XIIIème et XVème siècle.

De cette époque, subsistent les baies à colonnettes et une cheminée ronde coiffée d'une mitre sur colonnettes

dite "cheminée maure".

Baies en plein cintre et fenêtres anciennement à meneaux et traverses sont du XVIème siècle.



Nous avons même trouvé un sympathique petit coin de baignade surveillé en saison.

La zone de baignade offre une qualité d'eau nouvelle plage pas encore classée.

C'est une baignade en rivière



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